Ligue 1 - FC Nantes - Antoine Kombouaré : Gagner en novembre pour ne pas perdre la tête
Arrivé en messie pour sauver le club en avril dernier, Antoine Kombouaré essuie les premières critiques depuis son retour. Pas (encore) menacé mais la série de 7 matchs sans victoire le fragilise. Auprès d’un groupe toujours prompt à se défausser sur le coach et de son président consommateur frénétique d'entraîneurs depuis son arrivée à la tête du club en 2007
« Il faut rester calme » Antoine Kombouaré, sous contrat au FCN jusqu’en juin 2025, ne s’affole pas. La question de son avenir au club n’est pas d’actualité. Elle pourrait le devenir dans quelques semaines si la mauvaise série de ses Jaune et Vert se poursuit. L’entraîneur Kanak bénéficie malgré tout d’une certaine aura à la Jonelière. Son premier passage a marqué les esprits. « Le fonctionnement avec Antoine (Kombouaré) a marqué le club. Il y a une empreinte, des liens qui se sont créés avec tout le club », déclarait Franck Kita lors du retour du coach nantais. D’autres avant lui ont eu moins de considération de la part du directeur général délégué du FC Nantes.
Aristouy licencié après un nul à la Beaujoire contre Le Havre
Le licenciement de P.Aristouy ( 11e à 4 pts d’une place européenne..on était l’air de rien à 4j de la mi-championnat ) reste un grand mystère.. j’en conclue que ce choix n’était pas uniquement sportif ( déjà qu’ils souhaitaient le dégager après la 1ère journée hein..) pic.twitter.com/4XIa9uFyDA — DidierRoustan (@DidierRoustan) March 18, 2024
Il y a un an tout pile, Pierre Aristouy se faisait licencié après 3 défaites consécutives et un match nul 0-0 à la Beaujoire lors de la 13e journée face… au Havre ! L’ancien attaquant des Canaris avait obtenu 14 points après 9 journées puis 15 au moment de son licenciement. Pour dépasser le bilan de l’ancien montois, les Jaune et vert devront l’emporter 2 fois lors des 3 prochaines journées. La mission s’annonce compliquée. Interrogé avant la rencontre perdue face à l’OM sur l’avenir de son entraîneur, Waldemar Kita a répondu qu’il « espérait partir plus tôt que lui. On est dans un moment délicat, sur le plan sportif et économique », a précisé le Président, peu enclin (pour l’instant) à lâcher un chèque de 2 millions d’euros d’indemnités en faveur de AK, qui émargerait à 100.000 euros par mois