Contre Strasbourg, il y aura la volonté d’avoir un bloc un peu plus haut pour pouvoir jouer et faire d’avantage ce que vous avez fait en pré-saison ?

On va essayer. Même contre Paris, quand on a pu, on a pressé haut. Sur les 6 mètres notamment, on allait dans la surface adverse. Après ça dépend de ce que l’équipe adverse est capable de faire. S’ils sont bons techniquement, on va reculer mais on essaiera de faire comme en pré-saison.

Au-delà du résultat, qu’est-ce que vous attendez de vos joueurs ?

Qu’on monte le niveau offensivement. Défensivement, on a déjà fait un bon match contre Paris. J’espère qu’on aura plus d’occasions et que l’équipe va commencer à montrer l’envie de gagner tous les matchs.

Strasbourg a terminé 7e l’an passé avec un jeu alléchant. Il y a eu beaucoup de mouvements mais ça reste un projet ambitieux. Qu’est-ce que vous pensez de cette équipe ?

C’est une équipe très forte. C’est normal pour équipe qui a fait un mercato à plus de 100 millions d’euros. Ils l’étaient déjà l’année dernière. Individuellement, il y a beaucoup de qualités et collectivement, le coach Liam Rosenior fait un gros travail.

Le placement de cette rencontre, entre deux matchs de Ligue Conférence pour eux, vous avantage d’une certaine façon ?

Ça dépend. C’est vrai qu’ils ont deux matchs et sont concentrés sur leur match de coupe d’Europe mais ils ont un gros effectif. S’ils font tourner 3 ou 4 joueurs contre nous, ils auront de la qualité et ils donneront 200% pour prendre la place des autres. Ils pourraient être fatigués.

Quels sont les points forts à analyser dans cette équipe de Strasbourg ?

C’est une équipe qui sait ce qu’elle doit faire avec et sans ballon. Elle sait quand presser et quand elle fait, c’est fort et efficace. Ils ont aussi beaucoup de joueurs avec de la qualité individuelle, avec un gros potentiel.