Le NBH retrouve la douceur de la maison

8es après 13 journées, les Nantais ne sont qu’à 1 victoire de la quatrième place. Une remontée orchestrée notamment avec un bon bilan à la Trocardière.

Dec 12, 2025 - 11:40
Le NBH retrouve la douceur de la maison
@Thibault Marchand

C’est probablement le match qui symbolise le plus l’était d’esprit nantais. Fin novembre, à la Trocardière, les hommes de Valin sont mal engagés contre Caen. Un match qui leur permettrait pourtant de basculer encore plus en positif sur le bilan victoires/défaites. Et c’est collectivement, avec conviction, que Mienandi et sa troupe allaient le faire : 87-78, le cinquième succès en six journées qui allait installer le NBH dans la première moitié du classement. « L’équipe dégage plus de maturité, avouait satisfait le coach du NBH. Le travail paie, notamment dans ce qui nous faisait encore défaut il n’y a pas si longtemps, comme les rebonds, et désormais, tout le monde est dangereux à tour de rôle. Il y a eu un petit coup de mou mais c’est un groupe qui apprend de ses défaites. »

Faire une série contre les mal classés pour bien finir l’année

Le NBH attaquait donc décembre avec 7 victoires en 13journées, huitièmes dans une division dont la densité tient 5 équipes dans le même point, à la huitième place, et à seulement une victoire de moins que le top 4 !

Avec quatre matches entre les 12 et 27 décembre, synonyme de Noël studieux comme toujours, avec un point final – exceptionnellement un samedi - à la Trocardière face à Évreux -, l’occasion est belle de faire oublier le début de saison diesel. Au casting, trois équipes derrière le NBH au classement, ça peut donner des idées et des ailes pour grapiller encore au classement…

A noter que l’aventure Coupe de France s’est arrêtée nette à Tours (99-69), face à une formation de Nationale 1 au complet qui a mis tous les ingrédients. Clairement, la tête est ailleurs, tournée vers le championnat et les playoffs. Cela fera peut-être partie des vœux pour 2026, à condition de bien gérer le calendrier de fin d’année…

Gaëlle Louis