Coupe de France : Neptunes de Nantes : Les Reines remettront leur couronne en jeu !
Sur le podium en championnat et qualifiées pour une deuxième finale de rang, les Neptunes croquent mars à pleines dents ! Avec l’expérience du passé et un groupe solidaire, talentueux et qui a survécu à tous les affres possibles, les ingrédients sont là pour envisager une fin de saison passionnante.
Les Nantaises patientent, s’accrochent, tentant d’oublier que les 4 points de pénalités - passage en appel non effectué au moment de ces lignes - les privent de leur première place… « Rester dans le Top 4 était un impératif pour recevoir, tempère le coach de la cité des ducs. Ensuite, c’est à nous de jouer… »
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Car les play-offs débarqueront dans le calendrier dès le samedi suivant l’un des points d’orgue de la saison de la Nep’Team : la finale de « sa » Coupe de France !
Mulhouse, comme
« Une deuxième finale, c’est fantastique. Ce match, on savait à quel point ce serait difficile dans le niveau à produire dans le jeu, dans la gestion des émotions. Une demie, tu sais que tout comptera et que si tu passes l’étape, tu en sors aussi grandi. On a fait une heure de vidéo tous les jours, on a vu des millions de situations de jeu avec elles, on savait que l’on avait tout en mains, qu’on devait être patients. Je suis très heureux de ce que mon équipe a montré, avouait avec fierté César Hernandez, coach des Neptunes de Nantes, après la qualif’ face à ce qui se fait de mieux cette saison au niveau national (hormis les Neptunes). Je crois dans le Dieu du volley… et dans toutes mes joueuses. Je me dis que si elles se sentent bien et prêtes, cela portera toujours ses fruits. Je pense qu’on l’a vu avec Lena (Chameaux). Si on ne prend pas soin des filles qui jouent moins, avec en plus des joueuses en moins, on perdrait trop d’énergie. »
La deuxième pour El Profesor ; la cinquième pour tout un club ; la première dans la défense du titre : le rendez-vos est pris le 29 mars au Colisée, à Chartres, salle ô combien plus à la hauteur d’une finale de Coupe de France que 2024.
Mais bon, peu importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse face à… Mulhouse, de nouveau. Toutes sont d’accord pour ne pas s’attarder sur le manque d’inédit, y compris si l’issue doit être la même !
Gaëlle Louis
