Corsaires de Nantes : Les Jeunes au cœur du projet club
Avec en chef d’orchestre un Ondrej Martinka toujours aussi passionné, investi et dynamique, la relève nantaise a de beaux jours devant elle.

Mutualiser les forces, optimiser les compétences, pour porter toujours un peu plus haut les couleurs du hockey en région Pays de la Loire, les Corsaires se sont réinventés avec la création d’une SAS, mais n’en oublient pas pour autant leur association. Que cela soit ses Flibustières venues de Vendée, du Maine-et-Loire et bien sûr de la cité des ducs pour développer le hockey féminin ; son équipe U20 ultra performante, ayant bouclé son championnats la saison dernière sur le podium (2e) ; ou bien sa précieuse D3, équipe réserve permettant d’offrir du temps de jeu et de l’expérience à ces jeunes éléments… Le club nantais peut s’appuyer sur l’engouement généré par sa locomotive et des techniciens encadrant à l’unisson.
« Je trouve ça fabuleux de voir aujourd’hui, trois éléments issus de la formation nantaise être pleinement intégrés à l’effectif professionnel. »
« Je trouve ça fabuleux de voir aujourd’hui, trois éléments issus de la formation nantaise être pleinement intégrés à l’effectif professionnel, se réjouit l’ancien pro Ondrej Martinka, désormais aux manettes en qualité de technicien sur le secteur Jeunes. Que la porte soit ouverte à nos jeunes talents, comme c’est le cas en ce moment durant cette préparation est un moteur incroyable pour tous ces jeunes. C’est un vrai travail d’équipe de la part de tous les techniciens du club. »
La ligne directrice du plus Nantais des Tchèques est : faire au mieux pour l’épanouissement des jeunes talents. Et la réputation de la qualité de formation nantaise a largement dépassé les patinoires des Pays de la Loire, de nouveaux éléments venant frapper à la porte pour intégrer les Corsaires. « C’est un signal vraiment fort pour nous, qui concrétise tous les efforts que nous mettons en place autour du hockey mineur. J’entends et je comprends les potentielles rivalités dans le monde professionnel, mais, pour ce qui est de l’épanouissement des hockeyeur(se)s, il faut penser à ce qui reste le meilleur pour eux. C’est là qu’ils vont pouvoir donner leur plein potentiel. »
Gaelle Louis
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