Martin Sabas, le nouvel arrivant dans le clan SNUC : « Un esprit club unique »

Vraie recrue… mais faux inconnu, le joueur de 23 ans a rejoint l’équipe fanion de la cité des ducs et ses ambitions de remontée. Mission accomplie avec le bonheur de vivre de vrais moments de partage.

Dec 29, 2025 - 11:32
Dec 20, 2025 - 12:12
Martin Sabas, le nouvel arrivant dans le clan SNUC : « Un esprit club unique »
@Gaëlle Louis

A vous voir dans ce groupe, on peine à croire que vous venez d’arriver !

Je n'avais pas vraiment eu l'occasion de les côtoyer sur les tournois ou même à l'entraînement, parce que je viens d'arriver à ce niveau-là. Mais je ne les connaissais en tant que personnes. Je savais que ça allait bien matcher avec eux, dans l’esprit, ce qui est hyper important dans une équipe. L'intégration a été super facile. Ils ont été géniaux avec moi, comme Sébastien Tesson et Benjamin Paranque, le capitaine et le capitaine-adjoint. Cette mise en confiance a fait que dès les premières rencontres, j'ai plutôt bien joué.

 

« Il y avait plein de jeunes qui avaient des klaxons, des sifflets : ils tapaient partout. »

En mettant, qui plus est une pierre à l’édifice de ce retour dans l’élite pour le club !

Arriver la première année et monter en Pro A, c'est génial. On a vécu des beaux moments, des belles rencontres qui ont tout le temps tourné en notre faveur, comme cette victoire à Sannois lors la première journée. On ne savait pas qu’elle deviendrait aussi importante. Au final, ça a été vraiment décisif.  Il y avait 2-2 à la fin des simples. On a réussi à arracher les deux doubles, notamment un au super tie-break.

 

Entériner l’accession à domicile était le moteur numéro un ?

Le fait que les trois autres aient validé les points m'a permis de jouer la fin de mon simple relâché et de profiter du moment, de l'ambiance, de ne pas être pris dans le stress. J'ai vraiment apprécié le moment malgré ma défaite au super tie-break. Ensuite, les doubles, on s'est fait plaisir. J'ai joué avec Benjamin. C'était la première fois de notre vie que l'on jouait ensemble. Comme on avait assuré la montée, on a préféré kiffer en double, on a bien rigolé. C'était une super atmosphère : il règne au sein de l’équipe et tout autour un esprit club. Il y avait plein de jeunes qui avaient des klaxons, des sifflets : ils tapaient partout. Ça fait vraiment plaisir de jouer à domicile.

 Gaëlle Louis