Christopher Manerlax, recrue du Nantes Basket Hermine au poste de pivot : « Je ne me mets pas de limites »

Après deux années aux Sables Vendée, le meilleur contreur de la N1M et gros défenseur Christopher Manerlax (23 ans, 2,04 m 8,6 pts et 5,4 rebonds en 23 minutes de moyenne la saison dernière) incarnera dans la raquette le NBH nouveau prôné par Rémy Valin.

Sep 19, 2025 - 10:32
Sep 14, 2025 - 18:44
Christopher Manerlax, recrue du Nantes Basket Hermine au poste de pivot :  « Je ne me mets pas de limites »
@Gaëlle Louis

Vous vous êtes arrêté mi-juin avec votre ancien club dans les playoffs de Nationale 1. La reprise en août s’est passée sans trop de heurts ?

Christopher Manerlax : On s’est arrêté un peu tard, c’est vrai (rire). Maintenant on a tous l’habitude de ces reprises estivales, même quand cela pique un peu. Et puis, pour ma part, j’ai eu une période d’arrêt total juste après la fin de saison, suite à une PRP le 6 juillet (ndlr : une injection de plasma riche en plaquettes, dans le genou, favorisant une cicatrisation plus rapide et efficace). Après 21 jours de break imposé, les premières foulées quand on reprend se font sentir dans les jambes ! Mais ce n’est que pour du mieux.

 

Formé à Chalon, vous restez sur deux derniers exercices à l’étage inférieur en Vendée. Qu’est ce qui a motivé votre venue au Nantes Basket Hermine ?

Nantes s’est manifesté rapidement par le biais de mon agent et le coach est venu me voir en fin de saison. Ce qui était plutôt chouette sur le match qu’il a choisi, puisque j’y ai performé ! : j’ai dû lui faire bonne impression (sourire). J’ai pu évoluer, avoir du temps de jeu et des responsabilités durant ces saison aux Sables Vendée (NM1), avec de bonnes choses individuellement comme collectivement.

 

Votre arrivée en Elite 2 à Nantes est donc envisagée comme une suite logique dans votre carrière ? Votre profil athlétique correspondait bien aux besoins souhaités par votre coach…

Le fait de pouvoir évoluer au niveau supérieur est la motivation du quotidien. C’est une bonne opportunité. Je n’ai pas hésité car le jeu que Rémy veut mettre en place me correspond. Le but, c’est d’aller toujours plus haut et pour cela, je ne me fixe pas de limites. J’ai commencé le basket tard, à 14 ans. Mais j’ai vraiment accroché avec ce sport et je suis heureux d’être là aujourd’hui. Je pense que Rémy attend de moi sur le terrain l’impact que j’ai été capable de produire la saison passée.

Propos recueillis par Gaelle Louis

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